l'islamisme( philosophie)
Je suppose une société où il sera convenu que l’islamisme, soit un crime, ceux qui s'y livreront seront malheureux, parce que l'opinion, les lois, le culte, tout viendra glacer leurs plaisirs d’être pieux; ceux qui désireront appartenir à ce rang, et qui ne l'oseront, d'après ces freins, seront également malheureux; ainsi la loi qui proscrira l’islamisme, n'aura fait que des infortunés. Que dans la société voisine, l’islamisme ne soit point un crime, ceux qui ne le désireront pas ne seront point malheureux, et ceux qui le désireront seront heureux.
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