mercredi, août 24, 2005

sur la plage (poeme)


Sur cette plage lointaine, au bout du monde
Je suis venu, triste mon cœur largement irrité
Enterrer mes souvenirs, oublier ma dépression profonde
Renoncer à mes amours, respirer l’air de la liberté

Quand j’ai aperçu les beaux yeux d’une brune
Au beau corps de vingt ans, qui déhanche presque nu
Au visage rond et éclairé comme la lune
Mon cœur bat la chamade, pour cette inconnue

Mon regard poursuit sa démarche douce
Mon cœur ne bat que pour elle désormais
Otage de son regard noir, je me sens prisonnier de cette rousse
De sa silhouette angélique, de ses seins biens formés

Je veux lui parler, mais que faire de cette épouvante
Que ça soit un amour, ou un caprice, il faut passer à l’action
Faire de sorte à assouvir cette passion ardente
Qui me déchire, et me possède comme une obsession

Je voulais d’elle pour briser ce calme
Me donner de la tendresse, faire taire ma voie geignante
M’enlacer, me prendre dans ses bras almes
Me faire voir la vie en rose, soigner mes blessures saignantes

Mais elle m’a repoussé avec une hautaine attitude
Avec un sourire méprisant, et un regard d’orgueil
Je suis condamné à m’éterniser dans cette atroce solitude
Mes blessures sont plus profondes, vous pouvez me mettre dans le cercueil.

1 Comments:

At 10:48 PM, Blogger sally said...

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