Le plaisir
Aristote a clairement mentionné que le réflexe inné de tout être est de chercher le plaisir et fuir la douleur, ou encore comme dit Voltaire : « Le plaisir est l'objet, le devoir et le but
De tous les êtres raisonnables », je leur donne raison et c’est normal, car le créateur qui connaît les secrets de ses créatures, a choisi pour les pieux un plaisir illimité et pour les pêcheurs une douleur éternelle.
Si on Considère avec soin en quoi consiste la volupté ou le plaisir, c’est généralement toutes les sortes de contentements qu'on peut avoir, je remarque, en premier lieu, que pour la plupart des hommes le plaisir dépendent du corps, Puis je remarque qu'il n'y a rien qui puisse donner du contentement à l'âme, sinon une conscience en paix.
Le plaisir n’est pas une notion fixe, il dépend de chacun, des circonstances de sa survenue et du moment où l’on le reconsidère, car comme vous pouvez voir dans votre quotidien, le travail est considéré par les uns comme un plaisir pour d’autres comme une calvaire, une partie de jeu qu’on aime ,et nous procure la plus grande partie de la volupté n’est pas considérée de la même manière quand nous sommes malades collés au lit ou dans l’incapacité de jouer, ça devient en quelque sorte une torture.
Imaginez encore un moment de plaisir que vous avez pu emprisonner dans une photo ou dans votre mémoire, et que après des années les gens qui partageaient avec vous ces moments sont décédés ou que vous êtes dans la certitudes qu’en aucun cas vous ne pourrez revivre ces instants, personnellement quand j’évoque ces instants je sens une douleur à l’inverse de ce que je sentais avant.
Alors j’ai pu constaté que ce qui est plus important dans un plaisir c’est sa répétitivité et sa reproductibilité, et surtout ne pas chercher l’action du plaisir mais plutôt le plaisir de l’action.
5 Comments:
Très joli et très bien dit. Le plaisir est relatif, car le masochiste éprouve du plaisir dans la douleur. Encore, faut-il vivre le plaisir du moment présent et d'en garder aucun souvenir par la suite, souvenir qui est capable de transformer le grand plaisir en une douleur immense.
Mais concernant Aristote, je ne suis pas d'accord avec lui quand il considère le plaisir et la vertu comme deux éléments injoignables. Et si Epicure retient le plaisir comme objectif sacré, abstraction faite de toute valeur morale, Aristote lui, vient le brider par le biais de la vertu, voir même l'anéantir.
Je ne suis pas surprise de la qualité de ton texte, car tu nous as habitué à des idées très brillantes. Continue والله خير حافظا وهو أرحم الراحمين.
hihiiiii t as bien fait d écrire enfin:) tle3 lia f rassi dak nnmer lli 7attou f l adaptation :) w lli d ailleurs j ai jamais compris lach 7attou f l adaptation hihiiiiiiiiiiii je suis chirrira je sais :)
A+ amigo et ne ghber pas trop
sally>>merci de ton commentaire tres sympa;en effet je n'ai pas trop entré dans les details co,cernant la théorie déaristote mais je me suis contenté de ce qui me semblais logique dans les limites de ma foi;
lili>ça me fait enormement plaisir de te voir encore chez moi;en fait je ne suis plus chez moi et de ce fait je n'ai pas l'internet à ma portée;en fait ce n"est pas un tigre sur la photo mais le petit du tigre qui dois s'adapter à sa nature carnivore et commencer à apprendre à chasser.
1000 merci cher ami
merci à toi laila d'avoir pris la peine de lire mes textes modestes.
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