jeudi, janvier 11, 2007

Le choix 2


Je vois un homme qui a pour but d’atteindre un objectif, comme un tireur à l’arc positionné devant une cible, à force d’essayer il fini le plus souvent à s’améliorer et atteindre sa cible un jour ou l’autre, pourvu que la cible soit fixe, mais les choses deviennent plus hasardeuses si la cible est mouvante, et plus encore si elle ne soit pas totalement dans le champs de vision.
Les félins sont souvent confrontés à de telle situation et pourtant ils sont arrivés à trouvé la solution, une solution qui émane de leur simplicité ,au contraire de l’homme qui se complique trop la vie.
La solution est la suivante, ils choissent une seule cible parmi le troupeau, ils se concentrent sur elle, oubliant le reste et même s’ils n’arrivent pas à l’avoir, ils ne changent point de cible, une détermination exemplaire, et un choix précis et indétournable.
Vient encore le quatrième niveau de difficulté, c’est quand la cible a l’option de choisir, tel est le choix en amour.
Ici il n’y’a pas de flèches et de cibles, il n’y’a pas de prédateur et de proie, ici tu dois à la fois choisir et être choisi par ton choix.
Mais souvent le choix en amour n'est pas réellement un choix dans la mesure où il tend à s'imposer, il se produit dans une atmosphère de non-choix.

vendredi, janvier 05, 2007

Le choix 1


J’ai toujours considéré la vie comme une chute où un skieur descend du haut de la montagne, emporté par la vitesse de la descente, il se trouve obliger de prendre des décisions rapides quant au choix de l’itinéraire , surtout que la piste pour lui est inconnue, d’où l’embarras du choix.
Le problème qui se pose encore c’est qu’il n’a pas de marche-arriere dans la descente car la pente t’entraîne en avant en permanence.
Parfois nous sommes engloutis dans l’hésitation à tel point que nous ne sommes pas capables de choisir, et on adopte le choix d'autrui.
Parfois quand on fait nos propres choix, nous ne sommes pas sûr si notre choix émane de notre volonté ou c’est le hasard et l'espièglerie des destinées.