lundi, octobre 31, 2005

les contraires


La théorie dont je désire vous parler et qui me revient à l’esprit en ce moment remonte à mon bas age lors d’une réflexion enfantine.
On a souvent tendance à parler des qualités contraires comme étant l’une est le manque de l’autre, par exemple on peut aisément être entraîné dans une conclusion de sorte « si tu n’es pas généreux c’est que tu es avare » ou « si tu n’est pas courageux c’est que tu es peureux ».
De prime abord cette constatation semble logique, mais si on se concentre davantage cela ne me semble pas vraiment évident.
Primo parce que il me semble que le manque d’une qualité ne veut pas dire en conséquent son contraire, car si on considère une qualité comme positive selon les normes de notre culture et on la désigne par le signe (+1), alors son inexistence ne va pas donner forcement un signe (-1), mais plutôt la qualité nulle (0).
Et ce n’est pas exceptionnel de trouver des gens qui ne sont ni beaux ni laids, ni généreux ni avares, ni gentils ni méchants, ni timides ni audacieux, mais ils sont quelque part à mi-distance.
Secundo, la personnalité humaine n’est pas une composante statique, mais des éléments en perpétuelle interaction avec le monde extérieur et intérieur. Donc c’est une structure dynamique.
La beauté de la force humaine est de se contenir, de se diriger entre des impulsions diverses et d'assembler sous une même personnalité les contraires.
Quand je vois le monde autour de nous plein de contraires, le jour et la nuit, des marrée haute et des marrés basses,l’été et l’hiver, je me rends compte que les humains ne peuvent en aucun cas échapper à la loi de la nature :le changement permanent.
Ce qui appuie ma théorie c’est que le passage entre deux contraires n’est jamais brusque, on ne peut pas passer de midi à minuit sans intermédiaire, ni de l’été à l’hiver sans automne.
A la fin de ce texte succin je vous souhaite ‘MABROUK L3ID’.

mercredi, octobre 19, 2005

les mondes paralléles


La relativité dont je veux vous parler ici n'a rien à voir avec celle d'Einstein. La méthode einsteinienne consiste essentiellement à chercher une représentation mathématique des choses qui soit indépendante du point de vue de l'observateur et qui constitue, par conséquent, un ensemble de relations absolues. Mais la relativité qui m’intéresse pour le moment c’est la vision de chacun de nous du monde où il évolue.
Comme vous savez, tout un chacun vit sa vie différemment des autres, et par conséquent il n’a pas la même idée concernant ce monde, car tout simplement il vit dans un sous monde ou encore dans un monde parallèle à celui des autres.
Pour ne pas vous faire entrer dans la complexité de mon esprit labyrinthique, je vous expliquerai ma théorie sous forme d’exemples.
Imaginez un instituteur qui voit le monde sous forme de petits enfants turbulents qui lui cassent la tête, une attente permanente de son salaire, des calculs inachevés, Passant encore pour voir la vie d’un inspecteur de police, sa vie se résume d’écrire toute la journée des rapports et des plaintes, et de voir des choses de peu de moralité. Et si il doit vous résumer le monde de son point de vue, il va vous dire que le monde est un bordel plein de voyou et de prostituées.
Le médecin quant à lui lors des ses gardes ne voit que des agressions et des viols et des accidentés de la voie publique, que pensez-vous qu’il va dire de son monde ?
Le cordonnier du quartier est plus simple dans sa vision, lui qui dans son petit magasin de quelques mètres passe son temps à réparer des chaussures vieillis ne regarde en vous que votre chaussure.
La femme au foyer voit son monde dans sa cuisine, l’étudiant dans son livre, l’ivrogne dans une bouteille ,et vous comment vous voyez votre monde ?

dimanche, octobre 16, 2005

La prison

C’est l’histoire d’un jeune garçon
Sans scrupule et tant de façons
De son quartier était le plus odieux
Il se prenait pour un immortel, il se croyait dieu
Un jour, il perd sa chance
Quand la police arrêta cette engeance
Avec tant de drogue cachée
Les policiers étaient vraiment fâchés
Le petit tenta de fuir et accéléra
Mais s’est trouvé aussitôt devant le magistrat
Tous ses voisins désirent le voir pendu
Mais il part en prison bien entendu
C’est plus grave, et il se sentait durement puni
Quand il rentre dans une cage et voit sa compagnie
Des criminels impitoyables, des gens bruts
Ça fait longtemps qu’ils n’ont pas vu de femmes et sont en rut
Ils Lorgnaient en lui un endroit précis
Qu’on m’a défendu de nommer ici
Le petit dit que c’est aujourd’hui que je le perds
Vous comprenez de quoi il parle j’espère
La suite était terrible mais délectable
Ça fait rire mais je ne peux pas vous le dire, et c’est regrettable.

mercredi, octobre 12, 2005

L'amitié


Inspiré par mon dernier article, je me suis amusé à penser aux critères de choix de mes amis et les déborder pour réfléchir sur la réalité de l’amitié.
On dit souvent, que L'amour naît brusquement, sans autre réflexion, par tempérament ou par faiblesse : un trait de beauté nous fixe, nous détermine. L'amitié au contraire se forme peu à peu, avec le temps, par la pratique, par un long commerce. Combien d'esprit, de bonté de coeur, d'attachement, de services et de complaisance contribuent-ils à la formation de l’amitié ?
Et comme dit Voltaire : « L'amitié d'un grand homme est un bienfait du dieu ».
Comme dans « la mauvaise compagnie » il faut choisir des amis qui sont dignes de l’être, des amis qui viennent comme une brise pousser tes voiles tendues et non-pas comme un mistral qui te condamne au naufrage. Pour cela ils doivent tout d’abord être des gens de confiance.
Peut-être que vous allez me dire comment on va reconnaître un éventuel ami. C’est simple comme j’ai dit précédemment que l’amitié a besoin de temps pour s’établir, et ce n’est pas au jour le lendemain qu’on va devenir amis, mais cela n’empêche pas que par intuition quelquefois en un moment un beau visage ou une belle main indique les éventuels amis.
Et comme L'amitié n'étant pas un instinct, mais un art, et un art qui réclame un contrôle continu, beaucoup d'incrédules lui cherchent des mobiles analogues à ceux qui les animent. Des intérêts sexuels ou des intérêts d'argent.
L'amitié peut subsister entre des gens de différents sexes, exempte même de toute grossièreté. Une femme cependant regarde toujours un homme comme un homme ; et réciproquement un homme regarde une femme comme une femme. Cette liaison n'est ni passion, ni amitié pure ; elle fait une classe à part.
En globalité je trouve que l'amitié est plus haute placée que la fraternité, car en fin de compte les frères on les choisi pas !!!

dimanche, octobre 09, 2005

la mauvaise compagnie


Si tu prends le corbeau pour guide ,tu vas te retrouver parmis les charognes.

mardi, octobre 04, 2005

la chute



Essayer de plaire à un esprit inférieur,n'est-t-elle pas une véritable chute ?